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[Plateforme de la Mère Divine] Conte Poétique du Passage du Temple Noir au Temple Blanc Diamant

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Description du produit

Nombre de pages du conte (au format pdf) : 18 pages

 

Voici un extrait du début du conte,

"Il était une fois une Sombre et Mystérieuse Vallée,

Qui fut, par de Splendides et Majestueuses Montagnes Cristallines, Entourée,
De laquelle, la Symphonie des Anges de Krystal était Émanée,

Mais sans pouvoir, de l’Habitant qui y logeait, Être Écoutée,
Car elle était, d’un Drap de Brouillard Lourd, Pesant, Noir et Opaque, Voilée,
Empêchant les Rayons Lumineux et Chaleureux du Divin Soleil de Pénétrer, A cause duquel il ne Faisait que Suffoquer,

Les Accès à la Source des Eaux de la Vie, depuis le Bas, furent Également Bloquées,
Par d’Imposants et Lourds Rochers,

Ayant, petit à petit, toute la Joie, l’Amour, la Bonté et l’Enthousiasme, Emporté,

Les Fleurs, les Oiseaux Chantants, la Musique, les Couleurs, les Papillons et la Poésie s’étaient Envolés,
Toute la Vie semblait avoir été Aspirée,
De ces Terres Désolées,

Sur lesquelles plus aucun Fruit ni Aliment ne Pouvait Pousser,
A part, de Maigres Plantations qui Poussèrent, Pleines de Moisissures, Infectées,
Avec une Couleur Noircie, une Odeur de Soufre de laquelle ils Furent Imprégnés,
Qui était, par les Vautours Charognards et les Hyènes, très Appréciés, Qu’ils Considéraient, Eux, comme des Mets de Haute Qualité,
Et par lesquels ils Furent Irrésistiblement Attirés,

Ne Laissant plus, qu’à cet Être, Quelques Restes et des Cailloux, à Manger, Le Rendant avec une très Faible Santé et Vitalité,
Qui le Menait vers un État de plus en plus Détérioré,
Qui ne Faisait que s’Empirer,

Par la Vie qui Venait, en Lui et dans son Royaume, à Manquer,
Dans cet Environnement Sombre, de toute Lumière et Chaleur, Dénuée, Permettant à ces Parasites Hostiles de s’y Implanter,
Comme leur Nouveau Foyer,
Étant de toutes ces Maigres Ressources, Perpétuellement Siphonné,

Il Vivait dans un Petit Temple Noir en Bois, Pleins de Pics, Parsemés, Dont le Bois était, de Milliers de Punaises et de Parasites, Infectés, Toute la Structure de son Foyer était ainsi Fortement Fragilisée,
Et Menaçait à tout Moment, de s'Écrouler,

Par le Moindre Vent et Tempête qui Allait Souffler,

Ce Temple était de Toute Fenêtre, Dénuée,
Il Fut, à Beaucoup d’Endroit, Cassé et Troué, Permettant au Froid et à l’Humidité de s’y Inviter,

Mais aussi aux Prédateurs qui n’Espèrent que de Pouvoir Entrer, Et qui, dans ce Milieu Délabré, Peuvent Prospérer,
Le Faisant Vivre dans un Enfer Tourmenté,

Ne Laissant Plus, à Cet Homme, un Endroit où Être, Vivre et Aller, Car Cela Devenait de Plus en Plus Infernal d’y Rester,
Dans son Temple Intérieur au Soleil Noir, Inconsciemment Consacré, Le Temple Noir de l’Ego Négatif Inorganique, Incarné et Exprimé, Par le Livre de la Loi Inversée qui fut, en son Centre, Instauré,

Se Manifestant par des Actes Dénués d’Amour, de Pureté, D'Innocence, de Bonté, de Sagesse et de Générosité,

Qui Fut, par l’Ignorance, l’Inconscience, le Contrôle Mental basés sur les Traumas et l’Ego, Apporté,
Étant complètement Assiégé et Occupé,
Ayant Permis au Souffle Noir de la Mort de s’y Installer,

Et de, dans tout son Royaume, Être Infusée, Obligeant son Âme et son Être Profond à s’en Exiler,

Il Dû Alors se Résigner à l’Abandonner,
Et il s’Est, dans la Froideur et l’Incertitude de Dehors, Retrouvé,
Dans une Nuit Noire de Pleine Obscurité,
Se Retrouvant, par la Peur, la Souffrance Intense et le Désespoir, Dévoré, Dans une Intensité et une Profondeur telle qu’il ne l’Avait Jamais, Auparavant, Expérimenté,

Il ne Put Alors que, de Tristesse Sanglotante, s’Agenouiller, Ne Sachant plus vers Qui ou Quoi se Tourner,
Ni, Comment, sa Situation, Améliorer,
Et Pouvoir, son Coeur Meurtri, Apaiser,

Un Instinct Naturel Présent chez tous les Êtres Humains se Mit Alors à S'Éveiller,
Et il se Mit, avec une Grande Ferveur, à Prier,
Dans une Ardente et Puissante Intensité,

De Mots, qui Furent, de tout son Coeur et de sa Force, Imprégnés,

En Disant qu’il n’a Jamais Cru à l’Existence d’une Quelconque Divinité, Mais que si Dieu Existait Vraiment, qu’Il-Elle Puisse se Manifester et l’Aider,
En Remettant Davantage, en son Sein, l’Esprit de l’Humilité,

Qui lui avait Beaucoup Manqué par le Passé,

Comme par Enchantement, une Partie du Drap de Brume Épaisse se Mit à Légèrement se Dissiper,
Une Lumière Intérieure Commença, à Légèrement en Lui, s’Installer,
Lui Permettant, ce qu’il y a de l’Autre Côté, de Contempler,

Il Fut Naturellement Guidé,
A Lever son Regard vers le Haut pour Admirer le Ciel Étoilé, Face à une telle Beauté et Majestuosité,
Il se Sentit, pour la Première Fois, Émerveillé,
Éveillant en lui la Mémoire Enfouie de la Divine Beauté, Qu’il Avait, Pendant si Longtemps, Oublié et Mis de Côté,

Cela fut un Aperçu et une Réponse qu’il Avait Été Entendu et Écouté, Il fut ainsi, Pleinement dans son Élan, Encouragé,
En se Sentant Soutenu, Aidé et Accompagné,

Se Remettant de Plus Belle dans un Dialogue Intérieur avec le Divin Bien- Aimé,
Pour lui Demander de le Guider,
De la Froideur du Royaume au Coeur Noirci ainsi que de la Souffrance, s'Extirper,

Et vers une Plus Belle Vie remplie de Bonheur et de Plénitude, le Mener, Ne Sachant pas, par Lui-Même, par Où Commencer,
S'Étant Davantage, au Divin Suprême, Abandonné,

Il Aperçut une Lumière Intense Provenant d’un Astre Etoilé,
Plus Brillante que Toutes les Autres Grâce Auquel il Put se Repérer, Car Elle lui Indiquait la Direction du Nord, Où il Dût Aller,
Aussi, par une Intuition Naturelle, il Fut Guidé,
Vers une Petite Colline, à se Diriger,
En Haut Duquel, il Vit une Lueur de Lumière Au Loin, s’Animer, Sur la Montagne Cristalline, Tout en Haut, Situé,

Une Douce Musique Pleine de Vie, il Pouvait Écouter,
Qui Semblait de cet Endroit, Être Émané,
D’une Union de la Harpe et du Violon, Parfaitement Mariés,
Étant, au Flux de la Conscience Divine, Entièrement Syntonisés,
Qui Faisaient, toutes les Étoiles et les Galaxies, Danser et Chanter, Sur la Musique de l’Amour Pur Éprouvé, Exprimé et Échangé, Amenant la Sainte Harmonie qui est, par Toute la Création Originelle, Enveloppée,
Dans une Joie Toujours Plus Raffinée,

Au Travers Duquel toute la Beauté de l’Unique Divinité, Semblait Pleinement se Manifester et Irradier,
Dans une Sublime Harmonie et Unité,
Qui Pouvaient, par ces Instruments Parfaitement Accordés, La Pleine Splendeur des Cieux, Ici-Bas, Amener,

Elle Était d’une Telle Sublime Beauté,
Que Tout son Être se Mit à Vibrer,
Et Il se Sentit Soudainement Attiré,
Comme s’il Avait Aperçu, le Plus Beau Trésor Jamais Rencontré, Même s’il y Avait Encore des Voiles l’Empêchant de Pleinement l’Apprécier,

Et que Cela ne Fut qu’un Aperçu de ce qui Allait l’Attendre, une Fois Libéré,

Il Sentait que le Divin l’Encourageait à y Aller,
Et Décida Alors de se Mettre en Route d’un Pas Décidé,
En Se Laissant, par cette Lumière Intérieure dans son Coeur, Être Dirigé, Par le Son de la Musique Jouée par la Harpe et le Violon, Être Guidé,"

 

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